Voyage(s) est un documentaire cinématographique réalisé en 2021 par 12 jeunes encadré(e)s par Sophiane Louaïl. Dans le cadre de sa participation à FLAUBERT 21, l’Association LAPAT a souhaité offrir
l’opportunité à de jeunes normand(e)s et tunisien(ne)s d’interroger par le biais de la création collective cette notion de Voyage(s), en résonance aux voyages en Orient de Flaubert.
Lettres et carnets de voyage de Flaubert, tableaux orientalistes et photographies primitives, nous transporteront de manière sensible dans l’Egypte que découvre Flaubert en 1849. Nous étudierons dans quelles conditions matérielles et dans quel contexte Flaubert fait ce voyage. Nous le verrons, « revêtu d’une grande chemise de nubien et coiffé d’un « tarbouch rouge », admirer les paysages, « s’étonne[r] des villes et des hommes » et s’attendrir devant les chameaux.
Salammbô, la femme désirée, sacrifiée par les Voix des Livres : « C’était à Mégara, faubourg de Carthage, dans les jardins d’Hamilcar... » Flaubert achève son roman en 1862 après 5 années de travail et des recherches sur la ville de Carthage en Tunisie. Dans ce roman fleuve, historique, Flaubert relate un épisode guerrier qui se situe au IIIe siècle avant J.-C. après la première guerre punique.Les personnages ont effectivement existé. En revanche, Salammbô est un personnage fictif.
Voyage(s) est un documentaire cinématographique réalisé en 2021 par 12 jeunes encadré(e)s par Sophiane Louaïl. Dans le cadre de sa participation à FLAUBERT 21, l’Association LAPAT a souhaité offrir l’opportunité à de jeunes normand(e)s et tunisien(ne)s d’interroger par le biais de la création collective cette notion de Voyage(s), en résonance aux voyages en Orient de Flaubert.
Une lecture plastique réalisée par les étudiants de l’ISAMG en Tunisie. Tout d’abord, le portrait de Gustave Flaubert réalisé avec plusieurs techniques : fusain, pastel, pointillisme, peinture, crayons des couleurs, caricature… Ensuite, c’est le passage au dépassement où ils ont choisi de montrer une réalité qui n’est pas seulement celle des apparences, mais qui touche aux images mentales, aux présentations symboliques.
Lettres et carnets de voyage de Flaubert, tableaux orientalistes et photographies primitives, nous transporteront de manière sensible dans l’Egypte que découvre Flaubert en 1849. Nous étudierons dans quelles conditions matérielles et dans quel contexte Flaubert fait ce voyage. Nous le verrons, « revêtu d’une grande chemise de nubien et coiffé d’un « tarbouch rouge », admirer les paysages, « s’étonne[r] des villes et des hommes » et s’attendrir devant les chameaux.
De l’orientalisme chez Flaubert et les rêves d’Orient du XIXe siècle aux déplacements, à l’exil portant les rêves d’Occident d’aujourd’hui, nombre d’oeuvres ont été nourries de ce désir d’un ailleurs...
Sous forme d’une lecture à deux voix accompagnées d’éléments sonores, sons, musiques, bruits... Elles donneront à entendre des textes littéraires pour embarquer le public dans un voyage allant de Carthage à Caen, d’Orient en Occident, un périple d’hier et d’aujourd’hui. Faire résonner temporalités et espaces géographiques, afin de donner à entendre de véritables paysages sonores.
De Rouen à Carthage, un normand en Méditerranée, d’Emmanuelle Bunel et Tonj Acquaviva. Autour d’un répertoire chants de Méditerranée dans différentes langues, le texte écrit à partir d’extraits de lettres, romans et notes de Flaubert par Emmanuelle Bunel est accompagné par la musique de Tonj Acquaviva.
De Rouen à Carthage, un normand en Méditerranée, d’Emmanuelle Bunel et Tonj Acquaviva. Autour d’un répertoire chants de Méditerranée dans différentes langues, le texte écrit à partir d’extraits de lettres, romans et notes de Flaubert par Emmanuelle Bunel est accompagné par la musique de Tonj Acquaviva.
Samedi 5 mars 2022, Musée d’Orsay, Paris, auditorium, 10-17h30.
«Être oeil tout bonnement»: le regard de Flaubert sur les arts
Colloque organisé par l’Association des Amis de Flaubert et de Maupassant et le Centre Flaubert de l’université de Rouen Normandie. Ce colloque est gratuit mais l'inscription est obligatoire sur le site du Musée d’Orsay.
